Mois : mars 2014

Le nouveau EOS 300D

La sortie récente de l’EOS 300D a eu un double effet contradictoire sur l’EOS 10D : d’un côté, il a perdu une bonne part de son attrait puisqu’un modèle deux fois moins cher propose désormais la même gestion numérique (capteur+ processeur). Mais, d’un autre côté, sont tarif « officiel » ayant baissé de 500€ (voir plus !) il est devenu encore plus attractif par rapport aux autres concurrents. Difficile donc de mettre ces deux argumentaires en balance et de tout synthétiser dans une seule notation !

Un boîtier à sa main

EOS 300D Avec son capot en magnésium et sa large coque, l’EOS 10D trahit d’emblée sa nature ambitieuse. Il est l’exact moyen terme entre les reflex d’entrée de gamme 100% plastique et les modèles pros « tropicalisés ».
Bien construit, solidement charpenté, muni d’un viseur acceptable (sans être excellent, couverture 95% seulement, il est meilleur que celui de l’EOS 300D !), l’EOS 10D propose toutes les sélections créatives : avec lui on choisit son système de mesure indépendamment du mo de fonctionnement, avec lui, on a le choix permanent entre autofocus Ai-Servo (priorité au déclenchement) et un autofocus One-Shot (priorité à la mise au point). On regrettera toutefois les petits oublis qui permettraient à cet EOS 10D de se différencier plus nettement de l’EOS 300D tek qu’une connexion en USB 2.0, qu’un double slot pour les cartes mémoires ou qu’une mise en route plus rapide. En revanche, pour les « purs Canonistes », il a cet atout incontestable qu’est la large molete arrière. L’EOS 300D en est dépourvue et cette seule différence justifiera pour certains l’achat d’un EOS 10D !

Un rendu doux

Mais pour l’essentiel, l’EOS 10D est une entière réussite. Les touches sont sécurisées, les molettes crantées et la signalétique entre les fonctions de prise de vue et de visualisation sont nettement identifiées.
La qualité d’image est également irréprochable. Le CMOS est désormais parfaitement maîtrisé par Canon et les 6 millions de pixels effectifs sont largement suffisants pour une utilisation photographique experte. Les forums Internet ont disserté à foison sur les problèmes d’autofocus qu’aurait l’EOS 10D avec certaines optiques. Pour notre part, nous n’avons pas eu de problèmes mais il est évident que nous ne pouvons pas essayer chaque boîtier avec les 60 objectifs Canon EF (actuels), plus les anciens plus la centaine de Sigmma, Tamron, Tokina etc… compatibles ! Tout reflex numérique moderne peut connaître ce genre de souci et dans le cas de l’EOS 10D, le SAV Canon opère gratuitement un réglage sur mesure avec les optiques éventuellement décalée. Reste alors la question centrale : pourquoi acheter un EOS 10D 400€ de plus qu’un EOS 300D, d’autant qu’il faudra en plus acquérir un zoom grand-angle (17-40mm f :4 conseillé) bien plus cher que le 18-55 mm dédié au 300D ? Pour nous la réponse tient dans la notion de plaisir et d’investissement. Un EOS 10D muni d’un 17-40mm f :4 représente un achat de long terme (avec un meilleur espoir de revente qu’un EOS 300D+ 10-55mm) et il permet de travailler avec un équipement, certes plus lourd, mais mieux construit. De plus, le rendu des couleurs est plus « doux », moins accentué. Moins flatteur à première vue mais meilleur à 400 ISO quand le contraste monte.

Des prêts à la consommation compétitifs

S’affranchir des banques pour obtenir à moindre coût un crédit à la consommation, une gageure ? Grâce à la plateforme Internet Prêt d’Union, www.pret-d’union.fr, les ménages à la recherche d’un prêt à la consommation et les particuliers investisseurs sont mis en relation tout en se passant de l’intervention des banques.
Principaux atouts, selon Charles Egly, président du directoire de Prêt d’Union : « Pour les emprunteurs, les taux compétitifs des prêt proposés – au maximum 19.500€, sur cinq ans -, inférieurs en moyenne de 1à 1,5% par rapport au marché, et pour les prêteurs, des taux de rémunération attrayants, actuellement jusqu’à 6,5% brut par an sur cinq ans. » Quant aux risques d’incidents de paiement considérables qu’engendrent, en général, les prêts entre particuliers, Prêt d’Union se veut rassurant en invoquant son statut d’établissement de crédit et sa politique de sélection un peu plus stricte des emprunteurs que ses concurrents.